jai subi une reduction mammaire il y a 3 mois, avant cette operation je pesais 75 kilos je devais donc perdre les 5 kilos de ma grossesse afin. coucou les filles je me demandais si l'on pouvait Réductionmammaire et grossesse Bonjour à toutes, j'ai une petite question je dois me faire opérer pour une réduction mammaire. Savez vous combien de temps après cette opération je pourrait penser à une grossesse? TVAC Remplacement d’implants mammaires. 3300 €. TVAC. Réduction mammaire. 3600 – 4950 €. TVAC. Lifting des seins (sans prothèses mammaires) 3600 – 4650 €. Ilest possible de réaliser une réduction mammaire quand on est obèse, mais il faut être au courant que les risques d'une telle opération sont légèrement augmentés et que le résultat Unamaigrissement important après réduction mammaire entraîne une perte de volume du sein avec récidive de ptôse et éventuelle perte du volume du sein. La normalisation du poids avant l’intervention est donc indispensable. De la même façon, une prise de poids importante après la chirurgie peut entraîner la prise de poids dans les Souvent une ptôse mammaire peut être associée à l’hypertrophie mammaire. Les seins sont alors affaissés à cause du poids de la poitrine. Ainsi, une réduction mammaire peut être réalisée dès la fin de la puberté. Cette opération consiste alors à réduire le volume des seins en retirant un peu de glande mammaire. Les seins sont 132R. Coucou les poupettes, Je reviens après une longue absence sur le blog pour un article qui me tient beaucoup à coeur. Après vous avoir prévenu sur Instagram et Facebook, j’attendais avec impatience d’écrire le fameux article sur la réduction mammaire. On entend beaucoup parler de l’augmentation mammaire, mais il ne faut pas pour autant délaisser les grosses poitrines qui ont besoin d’être raboter haha. Alors oui je sais, beaucoup de filles ayant une petite poitrine rêveraient d’en avoir une plus volumineuse, et je peux le comprendre, mais ce n’est pas une raison pour dénigrer celles qui ont la chance » d’en avoir et qui en veulent moins. Car ça, je l’entends souvent et c’est nul ! Désolée, je n’ai pas demandé à mère Nature de me faire ainsi et pourtant je dois faire avec. Faire avec ? Non, non ! On est en 2014, alors si je ne veux plus de ma poitrine pour des raisons de santé ou de complexe, oust ! Bien sûr le problème existe dans les deux sens et comme on n'est jamais content de se qu’on a autant tout mettre en oeuvre pour améliorer son état. Je comprends que le complexe soit difficile pour les grosses comme pour les petites poitrines. Mais je ne peux parler que de ce que je connais haha Alors, pour vous resituer un peu, j’ai depuis mes 12/13 ans une poitrine très trop imposante pour ma morphologie. À savoir que je suis toute petite 1m40, et qu’avec mes soucis de santé dont ma scoliose, autant vous dire que ce n'était pas la joie. Pour tout vous dire, ma poitrine ne m’a jamais dérangée, mais il y a de ça quelques mois j’ai commencé à ressentir des douleurs dans le dos, je me penchais de plus en plus en marchant, etc. Je suis donc allée consulter le chirurgien orthopédique qui me suit depuis ma naissance pour avoir son avis. Sans grande surprise, après vérification des radiographies, il m’a affirmé que le poids de ma poitrine jouait en la défaveur de mon dos et qu’un petit régime s’imposait également pile poil pour l’été haha. Vous voyez la cicatrice d’Harry Potter ? Et bien voici à peu de chose près à quoi ressemble ma colonne vertébrale en ce moment. Mes lombaires et vertèbres sont très sensibles et instables, ce à quoi s’ajoute le fait qu’il ne me reste plus qu’un disque lombaire contre 5 pour le commun des mortels. Autant vous dire que si je ne ménage pas plus mon dos, ça va pas être la folie très longtemps. Allez, pas de panique, je me reprends en main et hop ! J’ai donc pris mon téléphone, demander à mon chirurgien une ordonnance pour consulter un chirurgien esthétique afin d’évaluer la question de ma poitrine. Aussitôt dit, aussitôt fait ! Le rendez-vous fut pris très rapidement puisqu'en à peine 1 mois j’étais devant elle. Vous pouvez imaginer mon impatience et ma joie lorsque je me suis retrouvée dans son bureau. Je pouvais enfin entendre les réponses à mes questions les plus farfelues, soulagement ! Pourquoi procéder à cette intervention ? ○ Lorsqu’il s’agit d’hypertrophie mammaire ○ Affaissement de la poitrine ○ Problème lombaire ○ Douleurs du cou, des épaules, du dos ○ Gêne pour le sport ○ Difficulté vestimentaire ○ Complexe physique psychologique Les objectifs L’intervention a pour but de réduire le volume des seins et corriger la forme afin d’obtenir une meilleure symétrie par rapport à la morphologie de la patiente. À savoir que votre morphologie est un élément très important dans l’étude de cas. Lorsque les seins prennent du volume pendant la croissance à cause des hormones, vous pouvez être sûre que le dos souffre. Votre courbure initiale se modifie et vous prenez des risques pour l’avenir. L’intervention L’opération a pour but l’ablation du tissu mammaire en excès. Le volume est conservé, mais en harmonie. Votre chirurgien vous donnera une estimation de la taille qui sera obtenue suite à l’intervention. Il est préférable de voir un peu plus petit que prévu, car le sein a tendance à reprendre un peu de poids quelques mois après. Le volume restant sera ensuite concentré et remodelé afin de redonner une forme correcte à la poitrine. Pour ma part, suite à l'entretien, nous avons convenu de passer d'un 95D à un 95C voire même B. La décision finale se fera lors de l'entretien préopératoire avec photos. Ainsi, ma poitrine aura la même taille à droite et à gauche. Car, vous devez sûrement connaître le petit souci du sein plus gros que l'autre. La raison ? Les battements de votre coeur à gauche grossisssent votre sein. L’excès de peau sera ensuite retiré et étiré pour reconstruire le sein sans cette graisse » manquante. Cela permettra d’assurer la bonne tenue et un nouveau galbe à cette nouvelle poitrine. Ces sutures de peau sont ainsi à l’origine des cicatrices de l’opération. ○ Intervention sous anesthésie générale ○ Hospitalisation de 1 à 3 jours nécessaires selon la patiente Les cicatrices Il faut en compter 2 ou 3 selon les chirurgiens et les méthodes préférées par ceux-ci sous la forme d’une ancre ou d’un T inversé. Cf. photo explicative • Autour de l’auréole • En longueur en partant du mamelon jusqu’au dessous du sein • Sous le sein Après l’opération douleurs, suivi… ○ Suite opératoire légèrement douloureuse pendant 1 à 3 semaines ○ Besoin d’antalgiques simples pour contrer la douleur ○ Un suivi infirmier est nécessaire pour changer le pansement et effectuer quelques soins ○ Il est possible d’observer des gonflements et/ou ecchymoses ainsi qu’une douleur lors de l’élévation des bras. ○ Le premier pansement est retiré à l’hôpital au bout de 48h ○ Il est obligatoire d’acheter une brassière de sport pour maintenant la poitrine pendant le premier mois ainsi que des bas de contention pour éviter d’éventuelles phlébites. ○ La sortie se fait un à trois jours après l’opération ○ Il est conseillé de prévoir un arrêt de travail ou un repos entre 8 à 20 jours. ○ Il est également conseillé d’attendre 2 mois avant de reprendre le sport. ○ Ne pas exposer les cicatrices au soleil avant 1 an. Puis au bout de cette année, protéger les cicatrices avec de l’indice 50+. Si votre maillot cache toutes les cicatrices, l’exposition au soleil peut se faire 2 à 3 mois après l’intervention. Les éventuelles complications Attention les filles, la réduction mammaire reste une opération chirurgicale. Cela implique tous les risques liés à un acte médical, aussi minime soit-il. Anesthésie et chirurgie Les conseils ○ Réfléchissez bien avant d’entamer la procédure ○ Choisissez bien votre chirurgien références, avis… ○ Parlez-en autant que nécessaire avec votre médecin traitant, chirurgien… ○ Donnez toutes les informations nécessaires et importantes à l’anesthésiste ○ Considérer les risques et les éventuelles complications À savoir ○ Ce genre d’intervention se pratique de préférence à la fin de la croissance. ○ Lorsque les hormones sont maintenues au même niveau depuis quelques années. ○ Le risque de cancer du sein n’est pas augmenté par l’intervention. Il serait même légèrement réduit dû à la réduction de tissus mammaires. ○ Un remboursement est envisageable lorsque minimum 300 grammes sont retirés par sein. Le résultat Alors là, petite surprise pour cette réponse, car la chirurgienne m’a expliqué que les résultats ne seraient obtenus à la totalité qu’un an après l’intervention. L’harmonie, le galbe, la symétrie et le naturel seront alors à 100%. Mais ce n’est pas tout, les résultats ont aussi un retentissement positif sur l’équilibre du poids, la pratique du sport, les possibilités vestimentaires et l’état psychologique de la patiente. Autant vous dire que j’ai vraiment hâte ! Pour mon cas, l’opération est prévue pour la fin de l’année décembre 2014 ! Les tarifs Les tarifs que je vais vous donner sont approximatifs et varient selon les chirurgiens et les méthodes utilisées, mais ça peut au moins vous donner un ordre de prix un peu plus précis qu’une fourchette. - Tarifs conventionnels Sécurité Sociale ○ 392€ chirurgien ○ 149€ anesthésiste - Tarifs compléments d’honoraires ○ 1800€ chirurgien ○ 900€ anesthésiste Et voilà les filles, j’espère de tout coeur que cet article vous aura plu. Je peux vous dire que je suis soulagée d’avoir obtenu toutes ces réponses et j’ai hâte d’être en décembre pour vivre de nouveau avec une meilleure posture et me sentir plus légère. N'hésitez pas à donner vos avis. Des bisous doux ! Clémentine Source de l'image n°3 J’ai subi une chirurgie de réduction des seins à 18 ans. Kristina Udice En grandissant, le fait d’être en surpoids et d’avoir des seins plutôt volumineux m’a causé de nombreux problèmes. À 18 ans, j’ai subi une chirurgie de réduction mammaire. Le processus de récupération n’a pas été facile, mais je ne changerais rien. Depuis que j’ai subi la chirurgie, j’ai pu perdre 50 livres. J’ai grandi en surpoids et j’ai aussi grandi avec des seins plutôt gros. Les deux étaient un problème auquel j’ai dû faire face tout au long de mon adolescence et pendant mes années d’adolescence. À partir du collège, j’ai remarqué que mes seins devenaient gros – ils devenaient beaucoup plus gros que ceux des autres filles – et je détestais ça. La tendance s’est poursuivie jusqu’au lycée, seulement maintenant, ils n’étaient pas seulement ennuyeux, ils étaient carrément nuisibles. C’était difficile de faire de l’exercice – courir en classe de gymnastique, jouer au softball et sauter dans la piscine étaient toutes des choses que je ne pouvais pas faire parce que je n’arrivais pas à contrôler ma poitrine. Elle avait vraiment son propre esprit. Et cela, à son tour, m’a conduit à la spirale dans un état de conscience de soi et d’anxiété. En plus de cela, j’avais d’horribles douleurs dans le dos et les épaules. Même le simple fait de porter un soutien-gorge mettait un tel effort sur mon corps que, à la fin de la journée, j’avais des marques rouges profondes sur mes épaules qui meurtrissaient et frottaient. Et c’est là que j’ai commencé à envisager une chirurgie de réduction mammaireEn fin de compte, je croyais en moi et en ce que je faisaisEt je n’aurais pas pu faire tant de choses si je n’avais pas eu ma chirurgie de réduction mammaire VOIR AUSSI 9 mythes sur les seins que vous devriez arrêter de croire VENEZ VOIR Vidéos populaires d’Insider WATCH Vidéos populaires d’Insider Inc. Et c’est là que j’ai commencé à envisager une chirurgie de réduction mammaire Même le simple fait de porter un soutien-gorge mettait mon corps à rude épreuve. pruit phatsrivong/ Je n’étais encore qu’une adolescente à l’époque – pleine d’hormones, d’insécurités rageuses et de toutes les émotions qui accompagnent l’adolescence. Mais je savais que pour me sentir heureuse, m’accepter vraiment et me sentir bien dans ma peau, il fallait que je change. Bien sûr, j’ai essayé les voies traditionnelles. J’ai fait de l’exercice. J’ai mangé plus sainement. Mais rien n’a fonctionné. Et cela a eu un impact négatif sur ma psyché. Mais j’ai poussé, je suis restée forte et j’ai travaillé comme une folle. J’ai parlé à mon médecin de la chirurgie de réduction mammaire quand j’avais 17 ans. J’étais encore au lycée, mais mon médecin a plus qu’accepté et encouragé – et ma mère aussi. Je n’aurais vraiment pas été capable de le faire sans elle, je ne pense pas. Et c’est à ce moment-là que j’ai donné le coup d’envoi de mon voyage. À 17 ans, j’obtenais mon diplôme d’études secondaires, je me préparais pour l’université et je faisais les démarches nécessaires pour obtenir la chirurgie qui, je l’espérais, résoudrait au moins certains de mes problèmes. Le processus était assez simple. D’abord, j’ai passé un certain temps à parler aux médecins et à détailler les problèmes auxquels je faisais face. Ensuite, on m’a envoyé chez un kinésithérapeute. Après quelques semaines à essayer de corriger ma posture et de soulager mes tensions musculaires, j’ai eu un autre rendez-vous avec mon médecin. Et comme mes problèmes persistaient, ils m’ont envoyé chez un chirurgien plasticien. Tout se passe bien à partir de là – du moins, physiquement. Mentalement, j’avais beaucoup de questions, d’inquiétudes et de doutes. C’était la seule chose que je voulais depuis si longtemps, mais soudain, plus ça approchait, plus je m’inquiétais. Est-ce que je le regretterais ? Et si ça se passait mal ? Et si je réagissais de manière excessive ? Je me demandais s’il n’y avait pas plus que mon incapacité à perdre du poids et les restrictions que mes seins de taille F avaient sur mes capacités à effectuer des tâches relativement basiques. En fin de compte, je croyais en moi et en ce que je faisais L’opération n’a pris que quelques heures. tk/ Par un petit matin du printemps suivant mes 18 ans, j’ai subi l’opération. Cela n’a pris que quelques heures – j’étais à l’hôpital le matin et réveillé l’après-midi. J’ai dû passer une nuit à l’hôpital, mais le lendemain matin, j’étais renvoyé chez moi. C’était comme un rêve – mais c’était probablement grâce à tous les médicaments que je prenais. Je ne me souviens pas m’être sentie très différente, du moins pas au début. J’ai dû continuer à retourner chez mon médecin pendant quelques semaines après la chirurgie. Essentiellement, ils m’ont équipé de tubes de drainage juste au bord de mes seins. Et ils ont dû être drainés, vérifiés et finalement retirés au cours des semaines suivantes. Il a fallu un certain temps pour que le gonflement diminue. Je n’ai pas vraiment remarqué la différence jusqu’à quelques semaines plus tard, quand tout était tombé en place et s’était situé. Bien sûr, j’avais mal. Pendant la première semaine, j’ai définitivement ressenti des douleurs sur toute la poitrine et je ne pouvais pas vraiment faire grand chose avec mes bras. Mais au fil des semaines, c’est devenu de moins en moins intense. Il m’a fallu environ trois semaines pour vraiment me sentir différent et dès la quatrième semaine – même si je n’étais définitivement pas censé l’être – j’étais de nouveau dehors et sur le terrain. Je faisais des randonnées, je m’entraînais et j’allais en cours. J’étais en fait capable de faire des courses et de nager dans la piscine et de porter une robe bustier. J’avais toujours des problèmes de corps, mais avec ma liberté retrouvée, j’avais l’impression qu’un poids avait été littéralement et figurativement enlevé de ma poitrine. J’étais capable de regarder les choses complètement différemment. Dans les premiers mois après mon opération, j’ai perdu 15 livres. Et oui, une partie de cela provenait du poids réel de l’ablation du sein lui-même. Dans l’année qui a suivi mon opération, j’ai perdu 10 kilos. Et depuis mon opération, j’ai perdu 15 kilos au total. Et je n’aurais pas pu faire tant de choses si je n’avais pas eu ma chirurgie de réduction mammaire Je l’ai fait parce que c’était ce qui me semblait bien pour moi et je ne changerais rien. Kristina Udice Je ne pouvais vraiment pas faire beaucoup de choses que les autres pouvaient faire à cause de mes seins. C’était un problème qui exigeait une solution et j’ai fait tout ce qui était en mon pouvoir pour corriger cette solution afin d’améliorer ma personne, mon esprit, mon corps et ma santé globale. Ma chirurgie de réduction mammaire et mon parcours de perte de poids ont été difficiles. C’était un processus long, dur, et parfois apparemment impossible. J’étais souvent irritée, frustrée et malheureuse. Mais en subissant cette chirurgie, j’ai pu changer mes perceptions et vraiment m’accepter quoi qu’il arrive. Je n’étais pas dans ce voyage pour quelqu’un d’autre. Je ne le faisais pas pour rendre les autres heureux ou pour entrer dans un moule sociétal. Je l’ai fait parce que c’était ce qui me convenait et je ne changerais rien. Visitez la page d’accueil d’INSIDER pour en savoir plus. VOIR AUSSI 9 mythes sur les seins que vous devriez arrêter de croire VENEZ VOIR Vidéos populaires d’Insider Inc. NOW WATCH Vidéos populaires d’Insider Inc. Si vous avez déjà subi une réduction mammaire, il se peut que vous n’aimiez pas les résultats au fil du temps. Il y a plusieurs raisons pour lesquelles vous pouvez penser cela Vous n’aimez toujours pas la taille de vos seins. Une asymétrie est apparue lors de la première intervention Vous avez pris plus de poids après votre première réduction mammaire. Votre peau a été étirée à la suite d’une grossesse. Vous voulez que vos seins aient l’air plus jeunes après avoir vieilli. Dans ces conditions, vous vous demandez peut-être si vous devez envisager une deuxième réduction mammaire. Cependant, vous craignez peut-être les complications qui pourraient résulter d’une deuxième réduction mammaire. Un chirurgien hautement qualifié et compétent sera en mesure de mener l’intervention en toute sécurité et de vous fournir les résultats que vous attendez. Qui sera le candidat idéal pour une deuxième réduction mammaire ? Votre chirurgien devra prendre en compte plusieurs facteurs lors de votre évaluation pour déterminer si vous êtes une candidate idéale pour une deuxième réduction mammaire. Une personne en bonne santé qui s’est complètement remise de la première réduction mammaire pourra bénéficier d’une autre réduction mammaire. Dans d’autres cas, nous pouvons vous conseiller de retarder l’intervention. Les raisons peuvent en être les suivantes Une perte de poids significative Prise de poids importante Vous envisagez d’avoir d’autres enfants Vous avez des attentes irréalistes quant à vos résultats finaux Vous êtes très stressée par le potentiel de l’intervention. Il convient également de noter que la technique chirurgicale que votre chirurgien précédent a choisi d’utiliser aura un impact sur vos résultats finaux. Il faut en tenir compte pour déterminer les résultats possibles de l’intervention. Il est important que vos attentes en tiennent compte et qu’elles soient réalistes. Éléments à prendre en compte pour votre deuxième réduction mammaire Risque accru de complications Lors de votre première réduction mammaire, les tissus et la peau existants ont été altérés. Le risque de complications est donc plus élevé, car les tissus sont différents. La façon dont vos seins se sont rétablis sera également un facteur à prendre en compte, car l’élasticité de la peau sera moindre. L’intervention peut prendre plus de temps Les chirurgiens devront faire preuve d’une grande prudence en naviguant autour de votre tissu mammaire pour éviter qu’il ne soit à nouveau traumatisé. Dans ces conditions, il est préférable de choisir un chirurgien hautement qualifié, qui sera plus familier avec les complications possibles et aura plus de facilité à naviguer dans le tissu mammaire. Les prix peuvent varier Il se peut que votre deuxième réduction mammaire soit plus coûteuse, car le chirurgien aura besoin de plus de temps pour naviguer dans le tissu cutané. Dans d’autres cas, il peut simplement s’agir d’une inflation de la procédure au fil du temps, car votre première intervention aurait eu lieu il y a un certain temps. Il est utile de disposer des dossiers de votre ancien chirurgien. Il n’est pas nécessaire de disposer des dossiers de votre précédente intervention, mais cela peut certainement aider votre chirurgien actuel à comprendre les techniques qui ont été utilisées. Il saura ainsi comment l’opération a été menée et comprendra mieux les complications. Assurez-vous de choisir un chirurgien spécialisé dans les seins Chez Tanit Esthétique, nous avons quelques-uns des meilleurs chirurgiens du sein qui puissent vous être proposés. Ils consacrent leur temps et leur expertise pour s’assurer que vos besoins sont satisfaits. Nous passerons en revue les options qui s’offrent à vous lors de la consultation. Vous pouvez également consulter nos études de cas de réduction mammaire pour voir les résultats des patients qui ont opté pour cette procédure. avril 28, 2021Toute opération chirurgicale pratiquée sur des patients dont l’état de santé est normal et qui sont même en bon état en général, a toujours des risques imprévisibles de complications. C’est pour cela que les chirurgiens compétents mettent en œuvre des mesures de prévention pour éviter la production ou le cas échéant en réduisant ou en éliminant les facteurs de risque comme le tabagisme, l’obésité, et les maladies pouvant être traitées avant l’ effet une réduction du volume des seins est considérée comme étant une intervention sûre mais elle peut entrainer des complications postopératoires qui risquent de prolonger le processus de guérison. A titre d’exemple les fumeurs ont un risque plus élevé que les non-fumeurs de rencontrer ce type de de réduction mammaire Qu’est-ce que c’est ?Toute femme souffrant d’une hypertrophie mammaire, en d’autres termes qui aurait une poitrine volumineuse par rapport à sa morphologie peut avoir des problèmes de dos, être complexée ou ressentir une gêne dans sa vie remédier à ces difficultés, il y a lieu de recourir à une chirurgie de reduction mammaire, à savoir retirer une partie de la poitrine et la remodeler le tout sous anesthésie générale pour réduire le poids et le volume des existe plusieurs techniques de réduction mammaire et le choix va dépendre de la situation de chaque patiente. Cette intervention de réduction mammaire n’est pas à confondre avec le lifting mammaire qui est destiné à remonter la poitrine en cas où elle s’affaisse, ni avec la pose d’implants mammaires qui est destinée à l’augmentation des chirurgie de reduction mammaire n’est pas vraiment une chirurgie d’ordre esthétique mais plutôt à visée thérapeutique pouvant donc être prise en charge par la sécurité sont les complications qui peuvent survenir après une reduction mammaire ?Cicatrices chéloïdes ou hypertrophiquesDans des cas très rares, il est possible de constater l’apparition de cicatrices visibles, rouges et même non conformes au niveau esthétique. C’est le cas des cicatrices hypertrophiques et chéloïdes. Pour les prévenir, il y a lieu d’utiliser plusieurs méthodes dont les principales sont l’utilisation de crèmes spécifiques et d’enduits. Mais pour apporter une correction à ces cicatrices, il faut procéder à une retouche chirurgicale pouvant être réalisée en ambulatoire sous anesthésie n’est pas vraiment considérée comme étant une complication post-opératoire. En effet, une petite différence dans la taille ou la forme des seins est parfaitement normale et d’ailleurs impossible à éliminer totalement car cette asymétrie existe déjà. Par contre dans le cas où après l’intervention, il vous sera possible de constater des différences marquées entre les deux seins, il y a lieu de procéder à une révision chirurgicale 6 mois après la première hématomesLa réduction mammaire comme toutes les interventions chirurgicales comprennent un risque d’hémorragie intra et post-opératoire. Généralement les saignements provoquent la formation d’un hématome à savoir une accumulation de sang à l’intérieur du sein. Ceci demande un infectionsIl est rare qu’une infection étendue se produise en cas de réduction mammaire mais il peut arriver que de petites infections localisées se développent au niveau des sutures ce qui permet une réouverture des plaies et retarder la guérison. Dans ce cas un traitement antibiotique est nécessaire avec un changement de pansements fréquent. Après la cicatrisation, il y a lieu de procéder à l’évaluation des cicatrices et voir la possibilité d’une révision chirurgicale si la qualité n’est pas au nécrosesAprès une réduction mammaire, il est tout à fait possible que surviennent des problèmes d’irrigation sanguine ce qui risque d’entrainer une perte totale ou partielle du complexe aréole-mamelon, une nécrose du tissu mammaire, glandulaire ou adipeux. Cette complication risque d’arriver dans 1 à 2% des interventions. Le risque sera plus élevé dans le cas d’une réduction mammaire de plus de 1000 g par sein et notamment chez les perte de sensibilité du mamelon, qu’elle soit complète ou partielle n’est pas définitive mais bien fréquente tout de suite après une intervention de reduction mammaire. Généralement la sensibilité est améliorée en quelques mois mais une guérison totale peut prendre jusqu’à un an. Il peut arriver aussi que cette perte de sensibilité soit permanente et peut même entrainer une perte de la capacité érectile du diminuer les risques de complications après une réduction mammaireAvant l’intervention pour une réduction mammaire, le médecin va demander à sa patiente de subir plusieurs tests et contrôles pour être sûr qu’il n’y ait aucune contre-indication à l’opération. Ceci sans compter qu’une bonne préparation réduit considérablement les risques de premier lieu le médecin va procéder à une évaluation de l’état de santé du patient et enquêter sur ses antécédents médicaux. Juste après, il poursuivra son investigation avec Une analyse de la poitrine pour vérifier la taille, la forme, les caractéristiques particulières…Il va aussi prescrire certains tests de laboratoire comme la capacité de coagulation du sang pour une évaluation de la tendance au saignementIl observera la dernière mammographie effectuéeS’il n’y aucune contre-indication à l’intervention, le chirurgien s’occupera d’autres aspects plus spécifiques comme les attentes de la patiente et quelle taille de seins espère-t-elle avoir. Par contre ce serait au chirurgien de décider comment et dans quelle mesure il va la suite, il décrira au patient les risques et les avantages de l’intervention et montrera à la patiente les implications de cette conseils prodigués par les chirurgiens aux patientes qui se soumettent à une intervention de reduction mammaire ont pour intérêt de réduire les risques de complications que c soit durant ou après l’intervention. Entre temps la patiente doit obligatoirement arrêter de fumer car cela ralentit et entrave le processus de cicatrisation de la peau. De plus l y a lieu de suspendre toute thérapie médicamenteuse à base d’aspirine, d’anticoagulants et d’anti-inflammatoires car ces traitements réduisent la capacité de coagulation du sang et de ce fait prédisposent à des saignements graves. Un jeune complet doit être entrepris dès la veille au soir de l’intervention car une anesthésie générale est nécessaire pour une réduction une personne obèse, il faut bien entendu commencer par une perte de poids et arrêter la pilule contraceptive et suivre un traitement hormonal de substitution pour éviter tout risque de thrombose veineuse profonde. Aller au contenu Généralement, la réduction mammaire est réalisée en ambulatoire sous anesthésie générale. Une sédation par voie intraveineuse avec anesthésie locale peut être envisagée. Après avoir effectué les incisions nécessaires, le chirurgien esthétique éliminera une partie de la glande mammaire responsable de l’hypertrophie des seins. Puis il éliminera la graisse en excès et la peau en surplus. La plaque aréolaire sera déplacée vers le haut. Le reste du tissu et de la peau sera remodelé et fermé à l’aide de sutures spécialement conçues pour ce type de chirurgie mammaire. La taille des aréoles peut être réduite afin d’obtenir une très bonne amélioration esthétique. On vous aidera à porter un soutien-gorge de contention. Lorsque votre chirurgien esthétique vous accordera la permission, votre chauffeur-assistant vous déposera à l’hôtel afin de poursuivre votre rétablissement. Vous pourrez pressentir quelques douleurs qui vous seront très gênantes les deux premiers jours suivant la chirurgie. Votre chirurgien vous prescrira des antalgiques pour que vous soyez plus à l’aise durant cette période. Vous pourrez vous lever et marcher normalement. Vous aurez certainement besoin de quelqu’un auprès de vous pour vous aider à vous vêtir. Si vous serrez venue seule en Turquie, ne vous inquiétez pas à propos de ce point, une infirmière de notre clinique passera régulièrement vous voir. Elle vous aidera à vous habiller et vous fera tous les soins post-opératoires nécessaires après une réduction mammaire. Évitez le sport et tout autre effort physique important. Évitez de vous exposer trop au soleil et suivez tous les conseils de votre plasticien pour que vos incisions guérissent correctement et pour que vous puissiez profiter pleinement des bienfaits de votre réduction mammaire.

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