LeChef de la MINUSMA a rendu hommage ce matin aux treize militaires français de l’opération Barkhane victimes d'un accident entre deux hélicoptères pendant une opération de combat contre des djihadistes au Mali. "L’opération française Barkhane se dédie sans relâche au Sahel et au Mali pour préserver la sécurité des populations victimes du terrorisme", a indiqué le Le26 novembre 1916, alors que la bataille de Verdun fait rage, Francis Simon, l'un des responsables d'une association qui rend hommage aux soldats morts pour la France, soumet l'idée de choisir au hasard un « poilu » décédé au combat et d'en faire le symbole de tous ceux qui ont perdu la vie dans les tranchées. A la fin de la Première Guerre mondiale, en septembre Non la France n'est pas le seul pays à avoir un "soldat inconnu". Ce mercredi 11 novembre 2020, cela fera 100 ans exactement que la tombe du Soldat inconnu a Cédricde Pierrepont et Alain Bertoncello sont morts dans l'opération pour sauver des otages au Burkina Faso. Les compagnes des deux hommes confient leur douleur. Florence Charton, la 1116, 27 Septembre 2021. EREVAN, 27 SEPTEMBRE, ARMENPRESS. Le Premier ministre Nikol Pashinyan, accompagné du chef du bureau du Premier ministre Araik Harutyunyan, de la ministre de la Santé Anahit Avanesyan, du ministre du Travail et des Affaires sociales Narek Mkrtchyan, a visité la Maison du soldat - Centre de réhabilitation pour les Défenseurs de la Patrie. Maisc'est la version composée en avril 1917, au lendemain des terribles combats sur le plateau de Craonne, qui s'imposera et restera la plus connue. Le texte permet d'aborder plusieurs aspects. Il contient tout d'abord des allusions au quotidien des tranchées, avec notamment ce moment crucial, tant attendu pour les uns et tant redouté pour les autres, qu'est la relève. TIMEG. Publié le mardi 16 août 2022 à 08h57 Un habitant de Trostyanets observe ce qu'il reste d'un char russe Msta-S. Ils sont quelques centaines, voire des milliers. Des "refuzniks" russes qui refusent de combattre plus longtemps et sont emprisonnés, voire torturés selon le père de l'un d'entre eux. Certains seraient également renvoyés au combat. Ces derniers temps, l'armée russe semble à la peine en Ukraine ses avancées dans le Donbass sont particulièrement lentes et couteuses en hommes et en matériel. Et manifestement elle peine à recruter des combattants, d'autant que désertions et refus de combattre semblent se multiplier. "Je résoudrai le problème par mes propres efforts, je parlerai à ces militaires qui sont responsables. C'est mon fils. Je ne partirai pas sans lui" cela fait plusieurs semaines maintenant que Maxime*, la cinquantaine, erre entre les unités disparates de l'armée russe engagées en Ukraine, dans la région de Louhansk où son fils Youri*, 26 ans a disparu. Il n'est pas mort au combat, n'a pas été blessé non plus, il a simplement refusé de poursuivre l'offensive entamée par Moscou le 24 février dernier. Depuis, il ne donne plus signe de vie. Des soldats emprisonnés et "torturés"Youri était un militaire d'active, un lieutenant affecté à une unité basée sur l'île de Sakhaline sur le Pacifique, dans l'Extrême-Orient russe. En avril, son unité se retrouve engagée en Ukraine, dans la bataille d'Izium, au sud de Kharkiv. Izium est un point névralgique qui commande les axes de communication vers le Donbass. La bataille est rude, les Ukrainiens se défendent d'arrache-pied, les Russes finalement prennent Izium, au prix de lourdes pertes. En juin le jeune lieutenant décide de jeter l'éponge et refuse de combattre plus longtemps. Il est immédiatement mis aux arrêts, avec d'autres soldats russes de son unité tout aussi réfractaires, incarcérés à Bryanka, une prison dans la région de Louhansk. Il parvient tout de même à joindre son père au téléphone, qui raconte "Il m'a parlé de tortures, il a dit qu'ils étaient torturés. Je l'avais déjà compris en parlant avec les parents d'autres militaires". Aux dires de Youri, les réfractaires sont régulièrement battus et ligotés à même le sol. Il y a même des simulacres d'exécution. "Beaucoup de ceux qui sont passés par là m'ont dit qu'ils n'auraient jamais pu imaginer une telle chose, que leur propre pays pouvait les traiter de cette façon" , raconte encore Maxime. Les réfractaires sont maintenus en détention pendant quelque temps, puis transférés "Ils sont exfiltrés vers des destinations inconnues... Pourquoi ? Je pense que c'est clair, pour qu'ils ne puissent rien raconter de ce qui s'est passé dans les prisons. Ils ne sont pas renvoyés dans les unités où ils servaient auparavant mais dans des unités spéciales, dans les zones du front où l'armée subit le plus de pertes. Je crois qu'on ne veut pas qu'ils en sortent vivants". Certaines unités russes semblent de fait avoir été condamnées dans leur ensemble, comme la tristement célèbre 64ème Brigade motorisée de gardes-fusiliers, probablement responsable des exactions contre les civils de Boutcha, lors de la bataille de Kiev. L'unité, bien que décorée par Vladimir Poutine, a été immédiatement réintroduite dans la bataille en Ukraine après son évacuation des faubourgs de Kiev. Ses pertes ont été telles dans le Donbass ukrainien que certains évoquent dorénavant sa probable dissolution. Des réfractaires renvoyés au combatLes pertes, en hommes comme en matériels, sont manifestement suffisantes pour que l'Etat-major russe ait décidé de recomposer complètement certaines unités, fourbissant de bric et de broc des sections n'ayant aucune expérience avec d'autres plus aguerries. Youri, le fils de Maxime, s'est vraisemblablement retrouvé ré-enrôlé de force dans l'une de ces unités "Il a été emmené à la prison de Perevalsk , où les hommes du groupe Wagner ont dit qu'ils avaient besoin de lui parce que c'était un spécialiste - Youri est tireur d'élite - il ne pouvait pas refuser, alors il est reparti" au combat. Maxime a fait le trajet jusqu'en Ukraine, jusqu'à la province de Louhansk pour tenter de retrouver son fils, sans doute effectivement réengagé dans les combats malgré lui. Combien sont-ils ces réfractaires de l'armée russe ? Au moins plusieurs centaines, peut-être même plusieurs milliers. En juin et juillet, deux unités présentes dans le Donbass ukrainien, la 205ème Brigade Cosaque de Fusiliers motorisée et la 11ème Brigade d'assaut aéroportée, environ un millier d'hommes chacune, ont fait état en tout de plus de 378 soldats , sous officiers, et officiers réfractaires, qui refusaient de poursuivre le combat en Ukraine. *Les prénoms ont été modifiés Les Décodeurs Deux militaires sont morts mercredi dans le cadre de l’opération Barkhane. l’Afghanistan reste toutefois en tête des pays les plus meurtriers. [Article initialement publié en avril 2016, réactualisé après la mort de deux soldats au Mali en février 2018] Deux soldats français ont été tués, et un autre blessé, mercredi 21 février, au Mali, entre Gao et Ménaka, par l’explosion d’une mine artisanale au passage de leur véhicule blindé, portant à 15 le nombre de soldats français morts depuis le lancement de l’opération Barkhane en 2014. 226 morts Depuis 2000, 226 soldats français sont morts dans des opérations à l’étranger. De 2004 à 2011, les interventions militaires, surtout en Afrique et au Moyen-Orient, ont été particulièrement coûteuses en vies humaines. Avec 29 morts, l’année 2011 a été à elle seule plus meurtrière que l’ensemble des interventions sous le quinquennat de François Hollande. 90 morts en Afganistan Cette mortalité élevée est liée en grande partie à l’intervention militaire en Afghanistan, où 90 soldats ont péri en plus de dix ans. Il s’agit du champ d’opération le plus dangereux, loin devant l’ex-Yougoslavie 35 soldats morts pendant l’opération Trident et la Côte d’Ivoire l’opération Licorne a coûté la vie à 27 soldats français. A ceux-là s’ajoutent les décès accidentels. Huit soldats sont morts lors du crash d’un hélicoptère au Gabon en 2009, et huit autres dans un accident d’avion en Egypte en 2007. D’autres militaires français stationnés dans le cadre de missions internationales ont été tués au Liban, au Tchad ou encore à Haïti. Parmi les 226 décès recensés du 1er janvier 2000 au 22 février 2018, 184 portent la mention morts pour la France ». Ce statut est octroyé lors d’une mort au combat et offre certains droits supplémentaires à la famille, comme le versement d’une pension à la veuve. Quentin Vasseur Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe. Floodland un city builder inspiré par la réalité du dérèglement climatique Ce nouveau city-builder est directement ancré dans ce qui pourrait devenir la réalité. Cette première bande-annonce de Floodland nous montre un monde post-apocalyptique grandement submergé à cause du réchauffement climatique, mettant en péril la survie de l'espèce humaine. Environ 2400 soldats du 1er Groupe-brigade mécanisé du Canada 1 GBMC Armée canadienne, basé à Edmonton Alberta, prendront part à l’exercice IRON RAM au cours des trois prochaines semaines à la Base des Forces canadiennes / Unité de soutien de secteur Wainwright. Le 25 octobre 2017 – Ottawa – Défense nationale/Forces armées canadiennesEnviron 2400 soldats du 1er Groupe-brigade mécanisé du Canada 1 GBMC Armée canadienne, basé à Edmonton Alberta, prendront part à l’exercice IRON RAM au cours des trois prochaines semaines à la Base des Forces canadiennes / Unité de soutien de secteur IRON RAM comporte deux objectifs principaux, en plus d'assurer la disponibilité opérationnelle de l’Armée canadienne. Dans le cadre d’exercices de tir fictif et réel de plus en plus complexes, le 1 GBMC confirmera d’abord les compétences individuelles et collectives de ses membres, qui exécuteront des activités visant le maintien et l’amélioration de leurs aptitudes à la guerre, en vue de déploiements potentiels. De plus, plusieurs cours d’instruction individuelle de niveau national auront également lieu afin de préparer les futurs leaders de l’Armée canadienne à mener des opérations dans l’ensemble du le cadre de la politique de défense Protection, Sécurité, Engagement, les Forces armées canadiennes poursuivent l’entraînement des militaires pour les préparer aux menaces émergentes et aux nouveaux enjeux d’intérêt pour le Canada. L’Armée canadienne continue de s’adapter aux réalités changeantes en investissant dans l’instruction et les ressources qui amélioreront sa capacité de réaction face aux menaces, aux enjeux et aux possibilités. Dans un monde de moins en moins prévisible, les soldats de l’Armée canadienne doivent être capables d’anticiper, de s’adapter et d’intervenir dans des environnements de combat complexes. C’est exactement ce à quoi l’exercice IRON RAM prépare nos troupes et nos futurs leaders, pour qu'ils soient fin prêts lorsqu'ils seront appelés à mener des opérations au pays et à l’étranger. »— Colonel William Fletcher, commandant du 1er Groupe-brigade du Canada Les membres du 1er Groupe-brigade mécanisé du Canada participant à l’exercice sont basés à la Base des Forces canadiennes Shilo Manitoba, et à la Base de soutien de la 3e Division du Canada Edmonton Alberta. Les premiers soldats et véhicules ont commencé à être déployés à la Base des Forces canadiennes Wainwright à la mi-octobre. L’exercice a lieu du 23 octobre jusqu’au 17 novembre 2017. L’exercice IRON RAM permettra de mettre à l’épreuve et d’améliorer les aptitudes interarmées du 1er Groupe-brigade mécanisé du Canada, soit l’intégration et la coopération d’éléments de l’infanterie, de l’arme blindée, de l’artillerie et du génie de combat, appuyés par des éléments de soutien logistique du combat. Le 1er Groupe-brigade mécanisé du Canada entamera le chemin vers le niveau de préparation élevé CNPE à l’été 2018. Le CNPE est le régime d’entraînement phare de l’Armée canadienne qui permet aux soldats de se préparer aux opérations de déploiement nationales ou expéditionnaires que leur confie le gouvernement du Canada. L’exercice sert à assurer le maintien des compétences de base des unités du 1er Groupe-brigade du Canada en vue de l’entraînement intensif du chemin vers le niveau de préparation élevé, et à confirmer qu’un groupe-brigade de l’Armée canadienne est pleinement prêt à mener des opérations nationales ou expéditionnaires. La deuxième partie de l’exercice réunira environ 120 stagiaires provenant d’unités de partout au Canada et 80 membres du personnel du Centre d’instruction au combat, basés à Gagetown. Des membres du 1er Groupe-brigade mécanisé du Canada aideront à la prestation des quatre cours suivants Cours de commandant d’équipe de combat;Cours de commandant de compagnie d’infanterie débarquée;Cours de sergent-major d’escadron ― période de perfectionnement 4; etCours de sergent-major de compagnie ― période de perfectionnement 4. Capitaine Derek ReidOfficier des affaires publiques, 1er Groupe-brigade mécanisé du CanadaTéléphone 780-973-4011, poste 7415Courriel avec les médiasMinistère de la Défense nationaleTéléphone 613-996-2353Courriel mlo-blm

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