Leschats peuvent attraper le COVID-19 bien que cela ne semble pas être courant. Il n’y a aucune recherche ou preuve suggérant qu’un chat peut transmettre le COVID-19 à un humain. Les laboratoires de diagnostic vétérinaire commencent à tester les animaux sur une base limitée. Si vous pensez qu’un chat est atteint de COVID-19, Lesfélins peuvent attraper la COVID-19. Cinq tigres et trois lions d'un zoo du Bronx (USA) ont été testés positifs. Un des animaux était asymptomatique tandis que les autres souffraient d'une Ala question les chiens (et les chats) peuvent-ils attraper ou transmettre le coronavirus responsable du COVID-19, la réponse est donc non L'actuelle épidémie ne justifie donc en rien d'abandonner - ou pire, d'euthanasier - son animal ! Par Guylaine VANDEKERKHOVE Uneétude espagnole a démontré que les propriétaires de chiens étaient plus susceptibles d’être contaminés par le coronavirus. Desanimaux testés « positifs » mais. Si l’on clame haut et fort depuis le début de l’épidémie de covid-19 que les chiens et les chats ne propagent pas le coronavirus, plusieurs publications parues dans les Pourfaire simple, une personne positive au Covid-19 peut faire passer le virus à son chien ou à son chat, comme à n’importe quel objet touché. Il suffit que votre toutou ou votre félin respire près d’une MjWy8. Être contaminé par l'intermédiaire de son chien, son chat ou son lapin, c'est possible ? C'est fort peu probable...Michel Cymes nous explique pourquoi. Les chiens, les chats et autres animaux de compagnie peuvent être porteurs d'un coronavus, mais pas du tout de celui qui est responsable de la pandémie actuelle. La contamination se fait entre humains, mais les animaux peuvent en théorie être vecteurs du virus lorsqu'on les touche. Pour éviter tout risque, le mieux est de se laver les mains après les avoir caressés. Pour ne manquer aucune info santé, abonnez-vous à notre newsletter ! OEn théorie, non. Si le gouvernement n’a rien interdit à ce sujet, l’ordre des vétérinaires recommande de donner la priorité aux soins d’urgence, à l’appréciation des professionnels. Les rendez-vous de vaccinations sont donc reportés dans les cliniques corréziennes, “nous recommandons aux propriétaires de laisser leurs animaux confinés chez eux pour éviter les risques, précise le docteur Xavier Aubineau. Nous vaccinons uniquement les chiens et chats de la SPA, pour éviter un risque d’épidémie.” La stérilisation des chats est quant à elle possible, sous certaines conditions elle ne concerne pas les chats d’appartement, mais uniquement ceux dont l’accès à l’extérieur n’est pas maîtrisé. Cette mesure aura pour but de prévenir la multiplication des naissances et les abandons de chatons d’ici quelques semaines. Malgré la décrue de l’épidémie, le Covid-19 reste un sujet de préoccupation majeur en France. Quelques cas de chats contaminés par le nouveau coronavirus via leur propriétaire ont été rapportés. Ils se révèlent heureusement rarissimes mais sont un objet de recherche pour la communauté scientifique. Wamiz fait le point pour vous sur les dernières actualités concernant le chat et le chat peut-il contracter le Covid-19 ? Devient-il contagieux ? Où en sont les connaissances sur la transmission du coronavirus humain aux félins ?Quelques études permettent d’apporter des éléments de réponse à ces questions, et surtout d’éviter de s’affoler ; le rôle des chats dans l’épidémie de Covid-19 semble tout à fait peu de chats malades du Covid-19Un premier cas de chat testé positif en France en avril 2020Le premier chat malade du Covid-19 en France a été diagnostiqué le 13 avril 2020 en île de France. Il s’agissait d’une femelle, prénommée Papille, présentant de la toux, une perte d’appétit et une grande écouvillons nasal et rectal ont alors été transmis par le vétérinaire traitant à l’ENVA École Vétérinaire d’Alfort. L’écouvillon rectal a montré une positivité de l’animal au coronavirus humain. Papille avait été contaminée par ses propriétaires. Elle a dû être hospitalisée pour recevoir des soins et a complètement récupéré au bout de 6 cas rares ?Des études et des cas d’infection naturelle ont démontré que le chat était sensible au SARS-Cov-2, c’est-à-dire qu’il peut l’attraper et éventuellement développer des symptômes. Cependant, cela reste France, seulement 2 chats ont été testés positifs au coronavirus. Un chiffre à rapprocher des plus de 12 millions de félins peuplant l’Hexagone et des plus de 160 000 cas confirmés de Français le reste du monde, les chats testés positifs par PCR détection de l’ADN du virus sur écouvillon se comptent sur les doigts de 2 mains 2 aux États-Unis, 1 en Espagne, 1 en Belgique, 1 en Allemagne, 1 à Hong-Kong.On déplore aussi 9 tigres ou lions infectés par le Covid-19. Bien sûr, tous les animaux contaminés ne sont sans doute pas testés surtout s’ils développent peu de symptômes, mais cela laisse tout de même de la marge…Dès février 2020, le laboratoire vétérinaire Idexx avait mené une campagne de dépistage d’envergure en Corée du sud et dans certains Etats que l’épidémie y faisait rage, aucun prélèvement d’animaux domestiques 3500 chats, chiens et chevaux ne s’était révélé positif au test PCR du Covid-19. Une vaste étude qui confortait l’idée que nos compagnons jouent un rôle marginal dans la propagation du une étude chinoise portant sur 102 chats de Wuhan a reporté 15 chats 14% présentant des anticorps au SRAS-Cov-2. Il semblerait donc qu’une part non négligeable de la population féline de Wuhan ait été infectée par le chercheurs chinois précisent que, lors du test sérologique, ils n’ont pas mis en évidence de réactions croisées avec le virus de la PIF Péritonite Infectieuse Féline, un coronavirus du chat ; c’est-à-dire qu’il n’y a pas de risque qu’un chat atteint de PIF soit détecté positif par erreur pour le chats positifs au coronavirus seraient contagieux pour leurs congénèresLes chats infectés peuvent-ils transmettre le coronavirus à d’autres chats ? C’est ce qu’une petite étude expérimentale sur 6 chats, publiée dans The New England Journal of Medecine, tend à cette étude, 3 chats ont été infectés expérimentalement par le SARS-Cov-2. Trois jours plus tard, ils étaient tous chercheurs ont alors introduit 3 chats sains dans le même local. Ces 3 animaux sont tous devenus positifs au bout de 5 jours. La transmission du virus du Covid-19 entre chats est donc possible. Fort heureusement, aucun des chats participant à l’étude n’a développé de symptômes de la expérience similaire avait été réalisée chez le furet, démontrant que cet animal était non seulement sensible au coronavirus mais également susceptible de contaminer des information est un élément important à prendre en considération, notamment pour la gestion de la maladie dans les collectivités félines, comme les élevages ou les pose aussi la question d’une éventuelle transmission du Covid-19 du chat à l’homme, mais, à l’heure actuelle, aucune donnée scientifique ne vient corroborer cette au Covid-19 chez le chat, des écoles et laboratoires vétérinaires mobilisésLa communauté vétérinaire ne reste pas les bras croisés face à la pandémie de le très grand élan de solidarité des vétérinaires libéraux avec la médecine humaine pour faire face à la vague prêt de respirateurs notamment, les écoles et les laboratoires ont élaboré des tests permettant de dépister les animaux et développent des études pour clarifier leur rôle dans cette chats d’un cluster d’étudiants testés à Maisons-AlfortÀ l’occasion d’un cluster de 19 malades sur son campus, l’ENVA a testé les 9 chats et 12 chiens d’étudiants infectés. Ces animaux vivaient en contacts étroits avec leur propriétaire. Quelques uns ont présenté des symptômes compatibles avec une infection au aucun n’a été testé positif, aussi bien par PCR présence de l’ADN du coronavirus que par sérologie présence d’anticorps contre le microbe. Les chercheurs français en concluent que le risque de contamination par le Covid-19 de l’humain aux chats ou aux chiens serait extrêmement faible, même lors de contacts étroits et prolongés. Ce qui va un peu à l’encontre de l’étude chinoise sur les chats de Wuhan, mais le nombre de chats alforiens était beaucoup plus faible, donc moins tests disponibles pour les vétérinairesLes écoles vétérinaires et le laboratoire Idexx ont développé des tests spécifiques pour le chat. Ils sont à la disposition des vétérinaires selon certaines conditions L’animal doit vivre dans le même foyer qu’une personne malade ou positive au Covid-19L’animal doit présenter des symptômes compatibles avec la maladieLes autres pathologies possibles doivent avoir été écartées par d’autres testsCOVIDACLe projet COVIDAC contraction pour Covid-19 et Animaux de Compagnie est initié par VetAgrosup ex École vétérinaire de Lyon. Il regroupe des vétérinaires cliniciens et des chercheurs et s’est donné pour ambition d’étudier la maladie Covid-19 chez nos animaux de compagnie, grâce notamment à la réalisation de tests à VetAgro Sup et dans des cliniques recherche avance. En attendant, il est de la responsabilité des humains de protéger les chats du Covid-19. Car, comme le rappelle l’Académie vétérinaire L’animal de compagnie doit être considéré comme un membre de la famille et le même niveau de précaution doit être appliqué à ce dernier qu’à un autre membre de la famille, notamment pour prévenir ses interactions avec une personne malade ou suspectée de Covid-19. » Lorsqu’on est malade ou positif au Covid-19, on porte un masque et on respecte les gestes barrières, même avec son chat. Ou on le confie à un proche !Isabelle Vixège Dr vétérinaireSources lire aussi Rage chez le chat un chat mordu par une chauve-souris enragée en France Ils repèrent les changements dans le métabolisme des individus Publié 15 Juillet 2020 à 08h53 Temps de lecture 1 min La police chilienne dresse des chiens pour repérer les malades du Covid-19 en détectant la présence du virus dans leur transpiration. Trois goldens retrievers et un labrador âgés de 4 à 5 ans jusqu’ici employés à rechercher des drogues, des explosifs ou des personnes disparues sont entraînés depuis 1 mois et travaillent à partir d’échantillons de sueur prélevés sur des patients hospitalisés. Ils espèrent qu’ils seront prêts d’ici le mois d’août. Le virus n’a pas d’odeur, c’est plutôt l’infection qui génère des changements dans le métabolisme », qui se traduisent à leur tour par une variété particulière de transpiration que peut repérer le chien », explique Fernando Mardones, professeur d’épidémiologie vétérinaire. Selon lui, il a été prouvé que les chiens peuvent détecter des maladies comme la tuberculose, des infections parasitaires et même certains stades précoces du cancer. Ils peuvent aussi percevoir de faibles changements de température de la peau, ce qui peut aider à déterminer si une personne est fiévreuse. Des initiatives similaires ont eu lieu récemment en France et en Grande-Bretagne. Lire aussi Décès du créateur de mode japonais Issey Miyake à 84 ans Raid israélien en Cisjordanie 3 Palestiniens tués dont un chef militaire Taïwan organise des exercices militaires, accuse Pékin de préparer une invasion A lire aussi Voir plus d'articles Les chats sont désignés, avec les furets et les civettes, comme parmi les animaux les plus sensibles à l'infection à coronavirus SARS-CoV-2, après les humains par cette étude du Center for Genomic Regulation ICREA, Barcelone. Cette analyse du risque pour 10 espèces animales, publiée dans la revue PLoS Computational Biology, va contribuer à empêcher la formation de réservoirs animaux à partir desquels le coronavirus pourrait réémerger ultérieurement avec de nouvelles mutations. Une susceptibilité élevée chez les chats mais... L’étude montre a contrario que les canards, les rats, les souris, les porcs et les poulets sont bien moins sensibles à l'infection. L’auteur principal, Luis Serrano, chercheur à l’ICREA explique que l’étude permet aussi de mieux comprendre pourquoi les visons, des animaux étroitement liés au furet, sont infectés par la maladie. Leur vulnérabilité est probablement renforcée par leurs conditions de vie compactes et leurs contacts étroits dans les élevages avec les humains. Si le chat présente une susceptibilité élevée à l'infection à SARS-CoV-2, en général l’animal ne coexiste pas avec les humains dans les mêmes conditions que les autres animaux, ce qui peut expliquer pourquoi jusqu'à présent il n'existe aucun cas documenté d’humain infecté par son animal de compagnie. 5 espèces avec cas documentés il s’agit des humains, des chats, des furets, des civettes et des chiens. Il n’existe aucun rapport d'infection documenté chez les souris, les rats, les porcs, les poulets et les canards. Evaluer les variantes du récepteur ACE2 pour estimer la susceptibilité d’une espèce c’est la procédure de cette recherche qui a regardé comment le coronavirus pouvait utiliser ses protéines de pointe, qui dépassent de la surface du virus, pour infiltrer les cellules de différents animaux. Le principal point d'entrée à la surface d'une cellule est le récepteur ACE2, qui se lie à la protéine de pointe par un mécanisme de verrouillage. Cependant, il existe de nombreuses variantes différentes d'ACE2 au sein des différents groupes de populations humaines et des différentes espèces. Cette analyse génomique constate que les variantes du récepteur ACE2 chez l'homme suivies par les furets, les chats, les chiens et les civettes ont les affinités de liaison les plus élevées avec la protéine de pointe virale, tandis que les souris, les rats, les poulets et les canards présentent une plus faible capacité de liaison. Cette affinité de liaison ne suffit pas à l’évaluation de la sensibilité d'une cellule à l'infection Les chercheurs ont également évalué la capacité du virus à réquisitionner la machinerie d'une cellule une fois qu’il l’a infectée. Plus ce processus est efficace, et mieux le coronavirus peut créer les protéines dont il a besoin pour se répliquer. Les humains, les poulets et les canards présentent cet indice d'adaptation le plus élevé, tandis que les autres espèces sont moins bien adaptées. Enfin, la recherche identifie différentes variantes humaines d'ACE2 qui peuvent contribuer à expliquer pourquoi certaines personnes développent des symptômes plus sévères du COVID-19 Nous identifions ici des mutations sur la protéine S qui réduisent considérablement la capacité du SRAS-CoV-2 à entrer dans la cellule, empêchant l'hôte de développer COVID-19. Nous travaillons actuellement à la conception de mini-protéines à partir de la protéine ACE2 humaine qui permettraient de détourner l'attention du virus et de bloquer l’infection ». Comprendre l'infectivité du SRAS-CoV-2 à travers différentes espèces permet d’optimiser les mesures de santé publique, en contribuant notamment à réduire le contact humain avec les espèces plus sensibles.

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